Les éoliennes génèrent toute une série de nuisances qui font débat entre promoteurs industriels qui installent des éoliennes industrielles et les habitants qui en subissent des nuisances agricoles, forestières et climatiques…

Comme le rappelle justement Jean-Marc Halévy, les « nuisances » sont des nocivités qu’il faut compenser par des investissements en temps, en énergie, en argent et en santé !

En voici un récapitulatif dont l’objectif est d’être synthétique et clair.

Nuisances agricoles et forestières

L’installation massive d’éoliennes diminue systématiquement la surface boisée et la surface des sols arables qui deviennent chaque jour un peu plus rares et sont pourtant indispensables pour nourrir la population locale (future économie de proximité de temps de crise).

De plus, c’est ne rien connaître à la physique et à la dynamique des sols qu’oser affirmer que 50 tonnes de ferraille et 500 tonnes de bétons enfouies tous les 800 mètres n’aura « évidemment » aucune incidence sur la fertilité des sols alentour.

N’importe quel agronome vous dira, bien sûr, le contraire. Et il vous parlera aussi des problèmes, qui y sont liés, de drainage et d’irrigation de ces mêmes sols sacrifiés.

Ne vous y trompez pas. Si les promoteurs d’éoliennes industrielles cherchent maintenant à installer des éoliennes en zones forestières, c’est tout simplement parce qui leur est plus facile et plus rapide de négocier avec les élus communaux plutôt que de d’avoir à faire à de nombreux propriétaires fonciers en plaine !

Plus facile, plus rapide et moins contraignant dès lors qu’il s’agit de défricher et de tailler des routes sans avoir de comptes à rendre quant aux destructions qui en résultent.

Nuisances climatiques

Toute hélice induit des turbulences dans le fluide qui la traverse.

L’éolien n’échappe pas à la règle d’autant que la tendance est de rapprocher les éoliennes dans de grands champs éoliens de grande densité qui par le jeu des effets de Venturi, jouent sur les accélérations de fluides et sur les rendements mécaniques.

Les éoliennes induisent des vents violents parasites qui se propagent loin et perturbent toute la flore et toute la faune sur de grands espaces avec, pour conséquence, la désertification de ces zones qui deviendront des déserts en termes de faune et de flore.

De plus, il a été constaté par satellite que les champs d’éoliennes induisent un réchauffement nocturne des sols.

Les éoliennes ne fonctionnent pas avec du vent, elles fonctionnent avec des subventions : coupez les subventions, elles s’arrêteront inévitablement et elles ne seront jamais remplacées.

Faut-il encore épiloguer ?

L’éolien, à lui seul, réussit le grand chelem du désastre :

  • Nuisances humaines déplorables,
  • Nuisances sociales déplorables,
  • Nuisances patrimoniales déplorables (tant sur le patrimoine immobilier que sur le patrimoine naturel et paysager),
  • Nuisances biosphériques déplorables,
  • Nuisances climatiques déplorables.

Sans parler d’autres bilans tout aussi déplorables :

  • Bilan énergétique déplorable,
  • Bilan financier déplorable.